Reportage
Les cours ont repris au collège Jacques-Cartier à Issou, suite à deux jours de droit de retrait exercé par l’équipe pédagogique. Ce retrait faisait suite à des accusations de racisme et d’islamophobie envers une enseignante, liées à la présentation d’une œuvre d’art du 17e siècle. Ces événements avaient suscité des inquiétudes parmi les enseignants et les parents d’élèves.
Le collège a connu plusieurs incidents depuis octobre, avec 14 faits recensés contre trois l’année précédente, incluant des atteintes à la laïcité, à la sécurité et des dégradations. Face à ces difficultés, le besoin de renforcer les moyens humains dans l’établissement a été souligné.
Le ministre de l’Éducation nationale a visité le collège le 11 décembre pour soutenir le personnel éducatif et a appelé à plus de fermeté dans la gestion des incidents. Il a annoncé des sanctions immédiates et fréquentes pour les élèves fautifs, ainsi que le renforcement des équipes de vie scolaire et la mise en place d’une équipe académique dédiée aux valeurs de la République.
Dans 80 jours, les Jeux Olympiques de Paris 2024 débuteront en France. De son côté, le collège Guillaume Apollinaire à Plaisir n’a pas attendu cette échéance pour lancer sa propre compétition. 50 équipes représentant 6 nations s’affrontent autour de disciplines scolaires durant les « Jeux Apo’lympiques ».
La semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme c’était la semaine dernière. Mais le collège Léon Blum à Villepreux ne s’est pas limité à cette seule semaine. Depuis le début de l’année les professeurs ont multiplié les visites et les échanges pour sensibiliser au racisme et à l’antisémitisme.
Plus de femmes à la tête des juridictions. C’est le souhait de l’association « Femmes de justice » qui milite pour la parité dans les postes à haute responsabilité. A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, l’association a organisé sa première cérémonie de marrainage à la cour d’appel de Versailles pour accompagner les étudiantes...
Ce mercredi, les portes du collège Philippe de Champaigne du Mesnil-Saint-Denis sont restées closes. Une opération « collège mort » lancée par les enseignants et les parents d’élèves en réponse à l’annonce de la suppression de deux classes dès la rentrée 2024.
Depuis 2019, l’association « Unissons » basée à Trappes récupère et installe des pianos dans des lieux collectifs non commerciaux. Écoles, EHPAD ou prisons. Des instruments en libre-service avec la volonté de créer du lien social et de fédérer autour de la musique. Une façon de casser avec l’image parfois élitiste du piano.
