Reportage
Le kettlebell, ou haltère russe, est une sphère en acier ou en fonte pesant entre 8 et 32 kg. Selon la légende, cette pratique trouve ses origines dans l’armée russe de l’époque soviétique, où un simple boulet de canon aurait été soudé à une poignée pour améliorer la condition physique des soldats. En compétition sportive, le but n’est pas nécessairement de soulever des charges lourdes, mais de privilégier le rythme d’exécution.
« Ce qui est intéressant, c’est la durée de l’effort et le travail sur des mouvements dynamiques en permanence, » explique un pratiquant. Contrairement à la musculation pure, le kettlebell implique tout le corps, avec des mouvements dynamiques. « On sue beaucoup, on est essoufflé, il y a une douleur physique et mentale, » ajoute-t-il. En force athlétique, les efforts sont courts et demandent de grandes qualités de force, mais ne procurent pas les mêmes sensations.
Lors des Championnats de France de Kettlebell à Guyancourt, le 18 mai, une vingtaine d’athlètes ont réalisé trois mouvements en continu : le jeté, l’arraché et l’épaulé jeté. Chaque mouvement a été exécuté pendant 10 minutes, avec le maximum de levées possible.
Sandrine Gaudefroy, 56 ans, a découvert cette discipline il y a sept ans. Lors de la compétition, elle a utilisé un kettlebell de 12 kg et a effectué une levée pendant 8 minutes. « Je suis un petit peu désavantagée parce que je ne pouvais pas fournir d’effort sur le bras droit, » explique-t-elle. « Moi, je suis challengeuse, j’adore relever les défis, alors j’ai tout fait sur le bras gauche. C’est ça ce sport, quand on dépasse ses espoirs, c’est hyper gratifiant. »
Malgré ses nombreux bienfaits, le kettlebell reste méconnu du grand public. Utilisés pour les exercices de renforcement musculaire, ces poids n’ont gagné en popularité que depuis les années 90, lorsque les compétitions de kettlebell ont été réglementées sous leur forme actuelle.
Dès le 28 juillet, Île-de-France mobilités propose un service de transport public pour acheminer les visiteurs sur les différents sites olympiques. Il y a quelques jours le préfet des Yvelines, accompagné d’Île de France mobilités et des membres de la communauté d’agglomération ont testé le trajet en avant-première
Parmi les sites olympiques yvelinois : l'étoile royale du château de Versailles. Conçu en quelques mois, il devrait accueillir les épreuves de sports équestres, de pentathlon moderne et de para-dressage. Entre 16 000 et 40 000 spectateurs sont attendus chaque jour. Entièrement démontable, c’est certainement l’un des plus beau site de compétition de Paris 2024.
Rambouillet, Clairefontaine, Guyancourt jusqu'à Versailles, mardi 23 juin la flamme olympique était de passage dans les Yvelines. Une journée historique à quelques jours des Jeux Olympiques que la rédaction de TV78 à suivi aux quatre coins des Yvelines.
L’équipe féminine de Zambie est arrivée dans les Yvelines pour débuter sa préparation pour les JO 2024. Pendant une semaine, les joueuses zambiennes peaufinent leur jeu et leur stratégie avant de partir pour Nice et commencer les épreuves de football des Jeux Olympiques
Cela fait trois ans que la ville de Plaisir organise l’événement « Tous champions ». Une réunion sportive animée par les club de sports plaisirois. Mise à l’honneur cette année : les jeux de raquettes.
