Dans la nuit du 9 au 10 octobre, la maison Triolet-Aragon a vu la Rémarde déborder. La maison-musée a connu le même sort que de nombreuses habitations dans les Yvelines.
Jusqu’à un mètre d’eau selon les pièces. Un mois après, l’heure est toujours au séchage. Le site n’a pas pu reprendre son activité.