Reportage
Le 20 janvier dernier, le salon de l’étudiant s’est tenu au Vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines. Cet événement a offert aux lycéens, qui ont jusqu’au 14 mars pour formuler leurs vœux sur Parcours Sup, l’opportunité de découvrir les nombreuses écoles du territoire.
Parmi les 70 exposants, 40 établissements de Saint-Quentin-en-Yvelines ont présenté leurs programmes. Les formations proposées couvrent divers domaines tels que le commerce, l’ingénierie et l’agriculture. L’école supérieure des agricultures de Guyancourt a notamment attiré l’attention des étudiants pour ses programmes axés sur l’environnement et l’agriculture.
Les formations en agriculture sont particulièrement pertinentes dans le contexte économique et environnemental actuel. Les étudiants sont de plus en plus attirés par les métiers liés à l’environnement, un secteur crucial pour la survie de la société.
L’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, membre de Paris Saclay, était également présente pour représenter le secteur public. Elle offre une diversité de formations, répondant aux intérêts variés des étudiants.
Plus de 4000 étudiants ont participé au salon cette année. Ils ont eu l’occasion de s’informer directement auprès des écoles et de recevoir des conseils pour faire leurs choix de formation post-bac.
La semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme c’était la semaine dernière. Mais le collège Léon Blum à Villepreux ne s’est pas limité à cette seule semaine. Depuis le début de l’année les professeurs ont multiplié les visites et les échanges pour sensibiliser au racisme et à l’antisémitisme.
Plus de femmes à la tête des juridictions. C’est le souhait de l’association « Femmes de justice » qui milite pour la parité dans les postes à haute responsabilité. A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, l’association a organisé sa première cérémonie de marrainage à la cour d’appel de Versailles pour accompagner les étudiantes...
Ce mercredi, les portes du collège Philippe de Champaigne du Mesnil-Saint-Denis sont restées closes. Une opération « collège mort » lancée par les enseignants et les parents d’élèves en réponse à l’annonce de la suppression de deux classes dès la rentrée 2024.
Depuis 2019, l’association « Unissons » basée à Trappes récupère et installe des pianos dans des lieux collectifs non commerciaux. Écoles, EHPAD ou prisons. Des instruments en libre-service avec la volonté de créer du lien social et de fédérer autour de la musique. Une façon de casser avec l’image parfois élitiste du piano.
La sérénité est-elle de retour dans le collège Jacques Cartier à Issou ? Après deux jours de droit de retrait de l’équipe pédagogique suite aux accusations de racisme et d’islamophobie à l’encontre d’une professeure, les élèves sont retournés sur les bancs de l’école.
