Nicolas Sarkozy a été condamné le 1er mars à trois ans de prison (dont un an ferme) pour corruption et trafic d’influence. Il dénonce un « procès d’intention » de la part des juges et remet en question leur impartialité. Une opinion qui pose question. C’est le décryptage proposé cette semaine par Vincent Couronne du collectif « Les Surligneurs ».