Nicolas Rodier évoque son premier roman : « Sale bourge » paru chez Flammarion, son héros connait lors de son enfance et adolescence versaillaise, dans le huis-clos d’une famille dysfonctionnelle, au sein d’un milieu soumis aux codes de sa caste que l’on désigne comme « privilégié », les humiliations et la violence qui le rattrapent sans cesse.