Ali Rabeh exprime ses réserves après le comité interministériel
Ali Rabeh, maire de Trappes, a participé au comité interministériel des villes organisé à Chanteloup-les-Vignes, présidé par la Première ministre Élisabeth Borne. Il en ressort avec un sentiment mitigé, évoquant des « mesurettes » et un manque de mesures fortes pour les quartiers populaires.
L’absence des habitants des quartiers populaires soulignée
Ali Rabeh regrette l’absence des résidents des quartiers dans ces discussions, estimant que l’échange se limite trop aux institutionnels et au gouvernement. Il souligne que cela ne répond pas aux attentes des habitants des quartiers populaires.
Des annonces positives mais insuffisantes
Parmi les annonces, il accueille favorablement la généralisation des cités éducatives, mais reste critique sur d’autres mesures qu’il juge cosmétiques. Il pointe du doigt le manque d’ambition et de mesures de rupture pour éviter les crises de colère dans les quartiers.
Les urgences à adresser : éducation et emploi
Rabeh identifie l’éducation et l’emploi comme les urgences majeures. Il insiste sur la nécessité de lutter contre le décrochage scolaire et de créer des opportunités d’emploi dans les quartiers, notamment pour ceux sans diplômes élevés.
La mixité sociale comme défi majeur
Le maire de Trappes met en avant la mixité sociale comme un enjeu crucial, critiquant la concentration de la pauvreté dans certains quartiers. Il appelle à une répartition plus équitable des logements sociaux pour éviter la ségrégation socio-économique.
Article conçu avec l’assistance d’une Intelligence Artificielle, en s’appuyant sur un contenu vidéo de tv78.