Saint-Quentin-en-Yvelines dresse un premier bilan après un an d’expérimentation de la recharge électrique par induction, une technologie sans câble désormais prête pour une commercialisation en 2026.
Une expérimentation menée à Saint-Quentin-en-Yvelines
Il y a un an, Saint-Quentin-en-Yvelines devenait la première collectivité en Europe à tester la recharge électrique par induction, une technologie pensée pour rendre la mobilité plus fluide, accessible et simple d’utilisation.
L’objectif : éliminer les câbles et simplifier l’usage quotidien des véhicules électriques.
Une recharge automatisée et accessible
L’expérimentation repose sur une borne permettant une recharge automatique. L’utilisateur se gare, déclenche la mise en route via un simple bouton et suit le niveau de batterie sur une application dédiée.
Une approche conçue pour réduire les contraintes matérielles et améliorer l’ergonomie.
Un gain de temps en recherche et développement
Les retours des agents mobilisés ont accéléré la R&D, permettant de modéliser plusieurs usages et d’ajuster le dispositif. Selon les équipes, cette phase terrain a fait gagner plusieurs mois, voire davantage, dans la finalisation de la solution.
Vers une commercialisation en 2026
La technologie entre désormais en prévente, avec plusieurs centaines de bornes prévues pour 2026.
À terme, le déploiement sur l’espace public pourrait élargir l’accès à cette solution de mobilité électrique.
Une innovation qui répond à un besoin réel
L’induction répond à un besoin pratique relevé sur le terrain. L’expérimentation menée à Saint-Quentin-en-Yvelines confirme l’intérêt d’une recharge simplifiée, sans branchement manuel, et positionne le territoire comme un acteur moteur de l’innovation en matière de mobilité.