Les députés viennent de voter fin janvier un amendement au projet de loi sur le numérique qui prévoit que le ‘revenge porn’, ou ‘vengeance pornographique’, soit passible de deux ans de prison et de 60.000 euros d’amende. Au-delà des conflits entre anciens amants, ce texte va aussi permettre de mieux punir ceux qui prennent au piège leurs victimes, lors de discussions intimes sur Skype. Explications et témoignages.